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Comprendre le Syndrome des Ovaires Polykystiques (SOPK)




Le SOPK touche environ 1 femme sur 10 et est une des causes principales de l'infertilité. Les principaux symptômes incluent :

  • Cycles menstruels irréguliers ou absence de règles.

  • Hirsutisme, ou excès de pilosité faciale et corporelle.

  • Acné persistante et peau grasse.

  • Prise de poids ou difficulté à perdre du poids.

  • Fatigue

  • Chute de cheveux voir Alopecie

  • Kystes ovariens visibles à l'échographie.

Ces symptômes varient d'une femme à l'autre, ce qui peut rendre le diagnostic difficile.


Évolution des symptômes du SOPK au cours de la vie ( INSERM)

Les symptômes liés à l’hyperandrogénie et à la dysovulation sont les plus importants chez les patientes les plus jeunes.

Avec l’âge, ils cèdent le terrain aux symptômes associés au syndrome métabolique. Les symptômes majeurs aux différents âges de la vie sont les suivants :

  • à 15 ans : hyperandrogénie et cycles irréguliers

  • à 25–30 ans : hyperandrogénie et infertilité

  • à 45 ans : hyperandrogénie et intolérance aux hydrates de carbone

  • à 55 ans : risques cadiovasculaires et diabète de type 2


Vous présentez certains de ces symptômes et cherchez des réponses ? Contactez le Dr Sterna GABSI pour une consultation personnalisée et faites le point sur votre santé.

Un suivi unique grâce à des programmes au jour le jour accessibles via notre application dédiée.


Cette consultation comprendra un interrogatoire et une prise de sang ciblée pour évaluer votre statut endocrinien et métaboliques.


En fonction des résultats, un plan de soins personnalisé sera élaboré, alliant nutrition, compléments alimentaires pour combler les carences, activité physique, gestion du stress.


Les anomalies métaboliques sont quant à elles traitées par des mesures hygiénodiététiques en première intention, puis par des médicaments antidiabétiques oraux si cela devient nécessaire. 

Plus la prise en charge est précoce , plus les résultats sont positifs.

En cas de surpoids, une perte d’environ 10% du poids initial réduit l’hyperandrogénie et montre un effet bénéfique sur l’aménorrhée, avec un potentiel bénéfice sur la fertilité.






 
 
 

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